⛅ Tout Ce Qui Ne S Exprime Pas S Imprime

Apprécier exprimer son intérêt pour quelque chose. To do not mind, to do not matter, to do not care. Exprimer des goûts neutres. To dislike, to do not like, to be not very fond of. Ne pas aimer. To hate, to detest, to loathe, cannot bear, cannot stand, to Jacques Salomé citation 1 Sachant que tout ce qui ne s' exprime pas s' imprime, il est souhaitable de favoriser l' expression au-delà de l' émotion, ou du retentissement. Cette Ceque l'on n'exprime pas en mots le corps eventuellement le traduira en maux 25/06/2020 Le vieil adage voulant que « tout ce qui ne s’exprime pas s’imprime », nous enseigne que les blessures du passé, les émotions refoulées, les rancœurs et les conflits non résolus seraient à l’origine de nombreux problèmes de santé que nous rencontrons aujourd’hui. Aujourdhui il est courant que dans un ordinateur ce que l’on appelle le processeur ne soit en fait qu’une combinaison de plusieurs processeurs. On parle toujours d’un processeur mais pour les processeurs qui le compose on parle alors de cœurs (Core en anglais). Dans le vocabulaire courant on dira qu’1 processeur est constitué de 2, 4, 8, cœurs. D’où les mentions en Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime". Il y a quelques jours je te parlais de mon approche holistique. Elle m'a conduite, notamment, à me former à la médecine traditionnelle Tout ce qui ne s'exprime pas, s'imprime" Notre Singularité . Publié 11 février 2019 21 septembre 2019 Par elsaeyraud « Pouvez vous vivre au quotidien sans avoir recours à la Maisil ne parvient à faire ni l'un ni l'autre. C'est son frère, Antoine, qui entérine cette reconnaissance manquée : « tu ne sais pas qui je suis, / tu ne l'as jamais su, / ce n'est pas ta faute et ce n'est pas de la mienne / non plus, moi non plus, je ne te connais pas [] / on ne se connaît pas » (partie 1, sc. 11). Si toute Avispour « Tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime dans le corps » Il n'y a actuellement aucun avis pour « Tout ce qui ne s’exprime pas, s’imprime dans le corps » Vous pourriez aimer Tout ce qui ne s'exprime pas s'imprime". A force de refouler ses émotions, de se contenir, d'empêcher de se lâcher, d'éviter d'exprimer ce qui nous gène, nous agace, nous MH0KD. Sandrine Kersih La vieille Guérisseuse de l’âme disait On n’a pas mal au dos, ce qui fait mal c’est le poids de nos MAUX du passé et du présent. On n’a pas mal aux yeux, ce qui fait mal c’est l’injustice de l'enfance à Aujourd'hui. On n’a pas mal à la tête, ce qui fait mal ce sont les PENSÉES SOMBRES et LA CULPABILITÉ . On n’a pas mal à la gorge, ce qui fait mal c’est ce qu’on N’EXPRIME PAS par PEUR ou exprime avec RAGE. On n’a pas mal à l’estomac, ce qui fait mal c’est ce que l’âme ne digère pas, la MALVEILLANCE ENVERS AUTRUI. On n’a pas mal au foie, ce qui fait mal c’est la COLÈRE et la HAINE. On n’a pas mal au Cœur, ce qui fait mal ce sont les blessures liées à la mauvaise interprétation de L'AMOUR qui vous ont conduit à vivre L'ABANDON, le REJET , la TRAHISON et la DÉCEPTION SENTIMENTALE. Et c’est bien lui, malgré tout L'AMOUR, L'ÉNERGIE DIVINE CRÉATRICE Qui contient le plus puissant médicament. L'AMOUR est la réponse à tout vos maux. - Toutes les émotions que vous refoulez à l'intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps sous forme de symptômes physiques Peur, Angoisse palpitations cardiaques, vertiges, sueurs, tremblements, mains moites. Panique diarrhées. Colère retenue, Rancune crise de foie Difficulté à trouver ou à prendre sa place infections urinaires à répétition Quelque chose qu’on ne veut pas entendre ou quand on ne veut pas s’écouter otites, douleurs d'oreilles. Quelque chose qu’on n’a pas osé dire angine, maux de gorge. Refus de céder, de plier, d’obéir ou de se soumettre problèmes de genoux. Peur de l’Avenir, peur du changement, peur de manquer d’argent douleurs lombaires. Intransigeance, Rigidité douleurs cervicales et nuque raide. Conflit avec l’autorité douleurs d'épaules. Tout prendre sur soi également douleurs d'épaules, sensation d'un fardeau. Serrer les dents pour affronter quelqu’un ou une situation sans rien dire douleurs dentaires, aphtes, abcès. Peur de l’avenir, difficultés à aller de l’avant ou besoin de lever le pied » douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles. Bien sûr, il ne faut pas généraliser, ça peut être tout simplement un problème mécanique, faux mouvement, coup de froid....mais si vous ne trouvez pas d'explications, essayez de réfléchir à ce qui se passe dans votre ressenti est-ce de la colère ? de la peur ?... et prenez la composition de Fleurs de Bach qui vous correspond. Au besoin, faites la thérapie par l'écriture, écrivez ce qui vous préoccupe, et brûlez ou déchirez. Ça permettra à l'émotion de s'évacuer. Dans un article paru en octobre 2014 à l’occasion de la sortie en salles aux Etats-Unis de Dear White People texte traduit et publié sur ce site au moment de la sortie du film en France, Stephen Kearse pose d’entrée que La plus grande puissance du racisme est sa capacité à simplifier radicalement le monde », à rendre celui-ci univoque ». La tâche fondamentale de tout travail antiraciste consiste alors selon lui à contester et [à] saper cette simplicité artificielle, en exposant la complexité implacable du monde ».L’étude du terme racisé-e » et de ses usages permet justement de mettre à jour à la fois la manière dont les simplifications et réductions du racisme imprègnent l’antiracisme même, mais aussi comment le vocabulaire antiraciste – et plus particulièrement ce terme – peut être porteur de complexifications et de clarifications politiques salutaires. C’est toute l’ambigüité des usages du mot racisé-e » dont nous aimerions ici l’origine utilisé par les universitaires et chercheurs en sciences sociales, le terme connait ces dernières années un succès croissant dans les cercles militants antiracistes surtout parisiens. Il désigne les personnes noires, arabes, rroms, asiatiques, musulmanes, etc. renvoyées à une appartenance réelle ou supposée à un groupe ayant subi un processus à la fois social et mental d’altérisation sur la base de la race. Les racisé-e-s » sont celles et ceux qui appartiennent réellement ou non aux groupes ayant subi un processus de racisation ».Centralité de la raceEn renvoyant au processus social et mental de construction des groupes racisés », le terme a le mérite évident d’insister sur le caractère socialement construit à la fois des différences, mais aussi de leur essentialisation. L’accent est mis sur le fait que la race n’a pas le statut de catégorie objective, mais fait référence à une idée construite, qui n’a pas de réalité dans l’ordre biologique ». Elle est un effet de l’activité de catégorisation et de représentation des personnes[1] ». Voilà qui bat en brèche les discours visant à nier par exemple l’existence d’un racisme antimusulmans islamophobie ou antijuifs antisémitisme sous prétexte que ces groupes ne seraient pas des races ».Placer la race au centre du discours politise la question raciale et rompt avec l’antiracisme moral et le discours colorblind. Car le langage dominant aujourd’hui autour des questions raciales est typiquement celui d’un déni de la race » rappelle Adia Harvey Wingfield dans un article au titre évocateur Si vous ne voyez pas la race, comment pourriez-vous voir l’inégalité raciale ? ». S’appuyant sur les travaux de sociologues, elle affirme que les mécanismes qui reproduisent les inégalités raciales sont devenus plus cachés et obscurs que ce qu’ils étaient pendant l’ère de la ségrégation ouverte et légale ». Le langage du racisme explicite a cédé la place à un discours du déni de la race. »Le terme racisé-e » permet de rompre avec ce refus de prendre publiquement au sérieux la race, refus qui n’obéit ni à un manque ou à une cécité, mais permet justement de reconduire les discriminations et hiérarchies raciales. Quand on aperçoit dans son immédiateté le contexte colonial, écrivait Fanon dans Les damnés de la terre, il est patent que ce qui morcelle le monde, c’est d’abord le fait d’appartenir ou non à telle ou telle espèce, à telle race[2]. » Le terme racisé-e-s » exprime l’idée selon laquelle les conditions mêmes d’existence des racisé-e-s » continuent aujourd’hui d’être déterminées dans une très large mesure par la race et le blanc et racisme anti-blancs »En encourageant une compréhension structurelle du racisme comme système qui institutionnalise une distribution inégale des ressources et du pouvoir entre personnes blanches et personnes » Robin DiAngelo, le terme » met l’accent sur l’existence d’une barrière raciale en montrant bien qui se trouve du bon côté de celle-ci celles et ceux qui ne sont justement pas comme », à savoir les et celles et ceux qui le condition toutefois de ne pas reconduire les essentialisations que l’on prétend combattre. Car les structures sont faites de personnes » et nous sommes tou-te-s impliqué-e-s[3] ». Une focalisation trop grande sur un racisme structurel mal compris peut nous conduire au final a réassigner et renforcer les positions, catégories et hiérarchies du racisme même, idée qu’exprimait clairement Edward Said dans L’Orientalisme Quand on utilise des catégories telles qu’“Oriental” et “Occidental” à la fois comme point de départ et comme point d’arrivée pour des analyses, des recherches, pour la politique, cela a d’ordinaire pour conséquence de polariser la distinction l’Oriental devient plus oriental, l’Occidental plus occidental[4] […] ».C’est pourquoi les Blancs dont nous parlons ici se trouvent être ceux qui bénéficient du privilège blanc[5]. Un privilège qui ne peut être appréhendé que de manière relationnelle, c’est-à-dire en comparaison avec les discriminations racistes que subissent les » discriminations pour les uns signifie immanquablement avantages pour les problème évident de cette acception qui définit de manière négative les » vis-à-vis de la norme – la blanchité – est justement de garder sans le nommer les Blancs comme référence. C’est pourtant, comme on vient de le voir, la manière la plus directe et immédiatement compréhensible de montrer que la structure des privilèges est déterminée par la suprématie blanche. Et c’est aussi d’une certaine manière prendre à la lettre la prétention des Blancs à être la mis sur la dimension structurelle – et bien comprise – du racisme qu’induit le terme » permet en outre de neutraliser de manière efficace le discours sur l’existence d’un racisme anti-blancs », discours conditionné par une compréhension du racisme en termes exclusivement moraux et individuels le racisme est l’œuvre de mauvaises personnes qui manifestent volontairement une hostilité envers d’autres personnes. Malcolm X relevait déjà que poser la question raciale en ces termes n’était tout simplement pas la bonne manière d’appréhender l’existence du racisme structurel. C’en était même la mot réservé à une élite militante et universitaire?Si comme on vient de le voir les avantages à utiliser le terme de » sont nombreux, ses usages ne sont pas dépourvus d’ambigüités et présentent quelques défauts majeurs. Le premier tient évidemment à l’origine même d’un terme qui ne provient ni du langage quotidien des », etc., ni même de la pratique militante, mais bien du lexique pêché originel élitiste » semble devoir marquer les usages mêmes du mot. A titre personnel nous l’avons utilisé à plusieurs reprises sur ce site et avons du l’expliciter presque autant de fois aux » qui nous disaient ne pas en comprendre la signification. Expliquer à celles et ceux qui sont par un terme ce que le terme signifie n’est pas banal. Cela tient sans doute davantage au caractère récent du mot qu’à sa difficulté intrinsèque avec un minimum de bagage sur le racisme, sans être forcément un expert, on peut comprendre ce qu’il signifie ou du moins à quoi il renvoie d’ pourrait d’ailleurs en dire autant des mots race » ou blancs » par exemple, que beaucoup y compris dans nos communautés répugnent encore à utiliser… surtout face à des Blancs. L’utilisation du mot » n’a d’ailleurs de sens que dans une discussion sur le racisme qui mêle les Blancs. C’est là tout son intérêt, en même temps que sa limite le mot ne désignant que le résultat d’un processus que nous connaissons depuis l’enfance, l’employer entre nous est assez des chaussures trop petites Etre noir en Amérique, c’est comme être obligé de porter des chaussures trop petites. Certains s’adaptent. C’est toujours très inconfortable, mais il faut les porter parce que c’est les seules que nous avons. Ça ne veut pas dire qu’on aime ça. Certains en souffrent plus que d’autres. Certains arrivent à ne pas y penser, d’autres non. Quand je vois un Noir docile, un autre militant, je me dis qu’ils ont une chose en commun des chaussures trop petites[6]. »Ces lignes extraites du passionnant livre d’entretiens de Studs terkel, Race, Histoires orales d’une obsession américaine, disent bien la réalité du vécu racial nous » portons des chaussures trop petites. Autrement dit, nous devons composer toute notre existence avec le racisme. Pour autant, nous ne sommes pas à la même enseigne. Loin s’en le terme racisé-e-s » recouvre des situations multiples, souvent éloignées les unes des autres, en raison des spécificités de l’histoire migratoire en France. Celle-ci, rappelle Saïd Bouamama, est à la fois un héritage imprévu de la colonisation et une production de la mondialisation capitaliste, dont un des ressorts importants est la bipolarisation inégale Nord-Sud ». Bouamama poursuit Cette double source d’héritage et de production du présent conduit à une structuration en couche des Noirs et des Arabes de France sans-papiers, immigrés avec une carte d’un an renouvelable, immigrés avec une carte de dix ans, Français issus de la colonisation[7]. »C’est bien cette hétérogénéité que masque certains usages du terme » puisque le mot peut désigner tout à la fois des récemment en France, que des ou ici depuis des générations. Aussi bien un sans-papier » comorien qu’un étudiant marocain issu d’un milieu bourgeois venu faire ses études en les » portent bel et bien des chaussures trop petites, doivent composer avec des chaussures légèrement inconfortables et d’autres avec des souliers bien plus douloureux. Un ami résumait cela par une formule saisissante se plaignent du plafond de verre, d’autres de la rugosité du sol. »Exposer la complexité implacable du monde… tout en gardant le capAujourd’hui, la race remplit vis-à-vis des Arabes, Rroms, Asiatiques et qui vivent en France sa fonction d’instrument de domination et de catégorisation avec une complexité croissante. Si la conscience du racisme semble être bien plus aigüe de nos jours, ses manifestations se font parfois plus subtiles, ce qui nécessite en retour une attention redoublée. C’est cette attention – nécessairement intersectionnelle – qui doit guider nos usages du terme ».Utilisé avec discernement, sans fétichisme, le terme apparait comme un outil de plus à notre disposition, dont l’utilité est non seulement rhétorique mais aussi politique. La catégorie de », qui renvoie à des expériences communes à travers le processus commun de racisation », a le mérite 1 de sortir de l’essentialisation, 2 de rompre avec un universalisme abstrait et pesant en reflétant au mieux nos subjectivités, et 3 de ne pas emprunter au lexique de l’extrême-droite Français de souche », etc. pour parler de en gardant à l’esprit qu’il existe des différences à la fois entre les groupes qui subissent le racisme, mais aussi en leur sein, la catégorie de » exprime l’idée selon laquelle, nous le répétons, les groupes racisés » sont tous soumis au même processus de racisation ». Un processus qui d’une certaine manière touche les personnes indépendamment de leur âge, sexe, classe, etc., même si dans les faits le racisme se manifeste différemment selon ces qui en termes d’organisation politique revêt pour nous un grand intérêt en permettant d’identifier clairement des objectifs politiques communs, sans que cela n’entre en contradiction – bien au contraire – avec une approche intersectionnelle, plurielle, plus que jamais nécessaire. Mais à trop vouloir définir par le menu toute cette pluralité, nous courons le risque d’une fragmentation à l’infini des luttes, piège que tout mouvement social à l’ère néo libérale doit invitation à lutter ensemble, en conscience de la pluralité, voilà comment nous comprenons ce terme de ».NOTES[1] Jean-Luc Primon, Ethnicisation, racisation, racialisation une introduction », Faire Savoirs N°6 – mai 2007.[2] Frantz Fanon, Les damnés de la terre, La Découverte, 2002, p. 43.[3] Reni Eddo-Lodge, Que révèle la phrase Pas tous les Blancs » ?, Etat d’ Edward Said, L’Orientalisme, L’Orient créé par l’Occident, Seuil, 2003, p. 61.[5] Certains développements sur le privilège blanc sont empruntés à notre article Nous parlons trop calmement de choses violentes », in Rafik Chekkat et Emmanuel Delgado-Hoch coord., Race rebelle, Luttes dans les quartiers populaires des années 1980 à nos jours, Editions Syllepse, 2011.[6] Studs Terkel, Race, Histoires orales d’une obsession américaine, Editions Amsterdam, 2010, p. 28.[7] Saïd Bouamama, L’expérience politique des Noirs et des Arabes en France. Mutations, invariances et récurrences », in Race rebelle, op. cit., p. 29-45.* Merci à Amine et Joao pour leurs remarques et leurs précieux ajouts. " Il existe bien une relation entre les émotions et les maladies. Le corps n'est pas juste un instrument, c'est en quelque sorte le temple de l'âme ou le film de votre vie. Toutes les émotions que vous refoulez à l'intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps. La maladie ou "le mal à dit" c'est tout simplement votre douleur qui essaie de vous dire quelque chose." "L’émotion est la source principale de toute prise de conscience.» Carl Gustav Jung Malgré le sentiment d'inconfort qu'elle peut parfois vous faire ressentir, voyez-la comme une amie qui vous tend la main et qui vous alerte que quelque chose n'est pas aligné avec vous-même et votre nature profonde. Prenez le temps d'écouter ce qu'elle a à vous dire, accueillez-la comme un cadeau, une boussole qui vient vous indiquer que quelque chose a besoin d'être reconnu, conscientisé, nourri, compris, etc .....Comprenez qu'elle se manifeste pour vous enseigner, vous apprendre à mieux vous connaître. Si au contraire, c'est une émotion agréable, alors c'est aussi le signe que vous êtres en harmonie avec vos besoins et c'est tout aussi important de le conscientiser et de vous en féliciter!

tout ce qui ne s exprime pas s imprime