🐄 Le Travail Nous Rend Il Plus Humain

PubliĂ©le 25/05/2022. Être infectĂ© par un parasite nous rendrait plus beau ! Cette observation fascinante a Ă©tĂ© faite par une Ă©quipe internationale de chercheurs. Mais, comment le Sil'ĂȘtre humain a dĂ©veloppĂ© un cerveau aussi gros au fil du temps, c'est peut-ĂȘtre bien parce qu'il a Ă©tĂ© contraint de coopĂ©rer avec ses semblables et a donc appris Ă  travailler en Enphilosophie, on estime que le travail est ce qui permet la transformation de la nature : l'homme produit des objets et transforme le monde autour de lui pour l'adapter Ă  ses besoins. Il crĂ©e ainsi des villes. Il change son habitat naturel. Le travail, c'est donc ce qui s'oppose au loisir et au jeu, c'est ce qui permet de transformer le Emploi: IntĂ©rim travail de nuit Ă  BĂ©ziers, HĂ©rault ‱ Recherche parmi 903.000+ offres d'emploi en cours ‱ Rapide & Gratuit ‱ Temps plein, temporaire et Ă  temps partiel ‱ Meilleurs employeurs Ă  BĂ©ziers, HĂ©rault ‱ Emploi: IntĂ©rim travail de nuit - facile Ă  trouver ! LeTravail Rend Il Plus Humain Page 45 sur 50 - Environ 500 essais Vieille chansson de jeune temps 4247 mots | 17 pages fait remarquer par son intelligence et se voit confier le service de la publicitĂ©. Entre 1870 et 1898, au prix d'un travail rĂ©gulier, il publie en moyenne un roman par an : les 20 volumes des Rougon-Macquart, L'Assommoir, Nana, Germinal, La BĂȘte humaine, parmi Lemonde change et les flux migratoires d'aujourd’hui ne sont plus ceux d’hier. L’AlgĂ©rie et la France doivent entamer la rĂ©daction d’un quatriĂšme avenant Ă  l’accord franco-algĂ©rien du 27 dĂ©cembre 1968, et ce, afin d’amĂ©liorer la situation de ces AlgĂ©riens arrivant en France. Dans l’optique d’un nouvel avenant, le CetterĂ©volution numĂ©rique qui nous rend plus humains. Alors que les innovations s’accĂ©lĂšrent Ă  un rythme jamais vu, il est devenu de plus en plus difficile de prĂ©dire l’avenir. Dansun contexte d’automatisation et de robotisation, on estime qu’entre 75 et 375 millions de personnes vont devoir changer de travail d’ici 2030 dans le monde. Elles seront par ailleurs infiniment plus nombreuses Ă  devoir modifier leur maniĂšre de travailler, notamment pour y intĂ©grer les robots et l’Intelligence Artificielle : un Letravail comme activitĂ© contrainte Ă  la fois physique et morale qui s’impose aux individus. Le travail Ă©puise l'homme il est aussi ce qui l'Ă©lĂšve, parce qu'il construit dans le temps ce que le temps s'acharne Ă  dĂ©faire et rĂ©alise ce que le temps finira pourtant par dĂ©truire : son existence. Le travail est vĂ©cu comme une contrainte. FLrc. Une page de WikiversitĂ©, la communautĂ© pĂ©dagogique libre. Nous avons vus que la technique, rendant notre travail efficace, va nous libĂ©rer de la nature mais aussi du travail lui-mĂȘme. À quelle libertĂ© parvient-on ? Quel est l'objectif du dĂ©veloppement technique ? L'enseignement des mythes[modifier modifier le wikicode] Quand ils abordent la question du travail, comme dans le mythe de PromĂ©thĂ©e, ils la prĂ©sentent comme une malĂ©diction, une punition divine, relevant de la fatalitĂ©. Ils expriment aussi Ă  la fois que le travail est nĂ©cessitĂ© naturelle et contre-nature, car l'homme ne semble pas fait pour travailler, le travail est corvĂ©e, labeur, peine. Dans la GĂ©nĂšse, il est dit que le travail est consĂ©quence du pĂ©chĂ© originel "Le sol sera maudit Ă  cause de toi [...] Ă  force de peine [...] produire Ă©pines et ronces [...] gagnera le pain Ă  la sueur de ton visage [...] tu es poussiĂšre et tu retourneras Ă  la poussiĂšre". L'humain doit donc engager une lutte contre la nature qui aura pour forme le travail alors que la nature semble tout donner Ă  l'animal, l'homme naĂźt dĂ©muni, et doit donc de lui-mĂȘme transformer la nature pour l'adapter Ă  ses besoins. Le travail semble ĂȘtre aussi un effort permanent contre l'attraction de la terre autrement dit la mort. Si le travail est punition, il n’est pas conforme Ă  la nature humaine. Rousseau, dans son Essai sur l'origine des langues dit que les hommes sont naturellement indolents au sens d'inertes, rĂ©sistants face Ă  une activitĂ© comme le travail et se plaisent Ă  ne rien faire. C'est seulement lorsqu’ils vivent en sociĂ©tĂ© que l'inquiĂ©tude de l'avenir va les rendre actifs. Dans une sociĂ©tĂ©, il faut faire montre d'une certaine performance, avoir des caps Ă  franchir, imposĂ©s par l'inquiĂ©tude. Mais il reste au fond de chacun de nous deux tendances fondamentales le dĂ©sir de se reproduire et l'oisivetĂ©. AprĂšs l'amour, ne rien faire est ce que l’on prĂ©fĂšre. C'est pourquoi, mĂȘme en sociĂ©tĂ©, "c'est encore la paresse qui nous rend laborieux", si nous travaillons autant, c’est pour ne plus travailler. Le mĂ©pris du travail chez les philosophes de l'antiquitĂ©[modifier modifier le wikicode] Contrairement Ă  ce que croient beaucoup d'historiens et certains philosophes comme Marx, ce n’est pas parce que le travail Ă©tait la tĂąche des esclaves que les grecs mĂ©prisaient le travail; en rĂ©alitĂ©, c’était le raisonnement inverse[1] c’est parce-que le travail est un asservissement qu’il dĂ©valorise les humains; il n'y en a pas un fait pour l'esclavage, par contre, le travail entraĂźne une transformation de la nature humaine, une dĂ©gradation. L'esclavage n’est pas instituĂ© par soucis du gain, mais par celui d'Ă©chapper Ă  la nĂ©cessitĂ© naturelle. VoilĂ  pourquoi Aristote, tout en justifiant l'esclavage, rĂȘve d'un monde technique oĂč il n'est plus besoin d’utiliser d'esclaves, oĂč le travail ne dĂ©graderait aucun humain. Aristote part d'une distinction entre praxis et poĂ«sis Praxis dĂ©signant les activitĂ©s immanentes n'engendrant pas de modification en dehors de nous-mĂȘme, qui ont pour fin d'accomplir notre nature, permettant d’ĂȘtre autrement PoĂ«sis dĂ©signant l'action productrice d'objets extĂ©rieurs Aristote n'assimile pas le travail Ă  la poĂ«sis, ni Ă  la praxis, il le considĂšre comme faisant partie des deux catĂ©gories, car le travail a une action modificatrice Ă  la fois sur le rĂ©el et sur la nature humaine. Aristote prĂ©fĂšre Ă  l’idĂ©e du travail et Ă  la nĂ©cessitĂ© l’idĂ©e de loisir et de libertĂ©. Mais il ne faut pas confondre les diffĂ©rents sens du loisirs dans le sens commun, le loisir correspond au moment du jeu et de la dĂ©tente, ou encore un temps pour consommer, et donc tout loisir est un temps pour rĂ©cupĂ©rer du travail, permettant de conserver un certain rendement, ou encore le temps qui n’est pas passĂ© Ă  travailler est utilisĂ© pour l'usage du fruit de notre travail. Ainsi, loisir et travail sont les deux phases d'une mĂȘme activitĂ©, car le travail n'a pas de valeur en lui-mĂȘme, et nous ne pouvons travailler Ă©ternellement le jeu et la dĂ©tente n'ont donc pas d'autres buts que le travail lui-mĂȘme[2]. Aristote conçoit diffĂ©remment le loisir, comme Ă©tant l’ensemble des activitĂ©s faites pour elles-mĂȘmes, qui ne sont pas nĂ©cessaires. Nous pouvons les choisir, et c’est lĂ  que nous sommes rĂ©ellement libres. Le loisir n'est donc pas nĂ©cessaire mais essentiel, dans le sens oĂč il concerne notre ĂȘtre, notre nature et son dĂ©veloppement les arts, la philosophie ne sont pas nĂ©cessaires. Cependant, le loisir ne semble pas incompatible avec le travail la rĂ©alisation d'un chef-d'Ɠuvre, le plus souvent, a demandĂ© un travail Ă©norme Ă  l'artiste; tout comme la philosophie demande un effort de rĂ©flexion... La technique comme moyen de se libĂ©rer du travail[modifier modifier le wikicode] Aristote, dans La Physique Livre II, Chapitre 8, dit "L'art en gĂ©nĂ©ral =la technique, ou bien imite la nature, ou bien exĂ©cute ce que la nature est dans l'impossibilitĂ© d'accomplir." Cette phrase ne peut ĂȘtre entiĂšrement comprise sans le concept d'imitation qu'Aristote rend central. Par dĂ©finition ce qui n'est que ressemblant, n’est pas identique, donc l'imitation n’est pas une simple reproduction. Cependant, la technique n’est pas la tentative de refaire ce que la nature accomplit, car dans l’idĂ©e d'imitation, il y a la ressemblance mais aussi la diffĂ©rence. Ainsi, la nature va nous servir de modĂšle pour produire nos propres objets, mais les choses naturelles ne sont pas de simples plans Ă  suivre, la nature va inspirer nos plans de construction, car la production technique suppose que nous ayons compris au prĂ©alable la nature et ses lois afin de produire des objets efficaces. Cette comprĂ©hension permet aussi d'inspirer de nouvelles idĂ©es, par exemple les combinaisons de nageurs sportif ayant une structure analogue Ă  celle des peaux de requins. Dans le fait d'exĂ©cuter ce que la nature ne peut faire, il y a deux choses PremiĂšrement, la technique est le moyen par lequel l'humain va augmenter les effets ou dĂ©tourner Ă  d'autres fins les activitĂ©s de la nature. Ainsi le marteau augmente la force de notre bras, et l'irrigation est bien un dĂ©tournement de l'Ă©coulement l'eau, en vue de cultiver des terres qui ne seraient pas fertiles sans ce moyen. DeuxiĂšmement, Ă  cause de la technique, il existe une rivalitĂ© humain/nature. L'homme, en inventant et produisant des choses qui n'existent pas, imite encore la nature, qui invente aussi, comme en tĂ©moignent les mutations gĂ©nĂ©tiques. Les objets artificiels peuvent ĂȘtre alors comparĂ©s Ă  ceux de la nature car tout en Ă©tant trĂšs diffĂ©rents, ils peuvent rivaliser en termes d'effet et de capacitĂ©s, et ce ne sont pas toujours les crĂ©ations techniques qui ont le dessus par exemple, certaines molĂ©cules contre le cancer ne peuvent ĂȘtre produites que par de petites fleurs et toute notre industrie, si gigantesque soit-elle, en est incapable Puissance de la technique[modifier modifier le wikicode] 21 siĂšcles aprĂšs Aristote donc au XVIIe siĂšcle, Descartes prolonge son raisonnement. Il devine, dans la forme moderne de la science qu’il met sur pied, le moyen de dĂ©velopper de maniĂšre indĂ©finie la technique, permettant d'obtenir une domination sur la nature. À partir de deux intuitions fondamentales Tout, dans la nature, peut ĂȘtre rĂ©duit Ă  un mĂ©canisme La science doit ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme une technologie du rĂ©el La premiĂšre intuition prend le contre-pied d'Aristote, qui disait que l'Ă©tonnement est le moteur de la connaissance, en dĂ©montrant que la condition pour progresser dans le savoir consiste Ă  postuler qu’il n'y a rien d'Ă©tonnant ni d'admirable dans la nature. Aucune exception, aucun mystĂšre, aucune puissance cachĂ©e ne peut y exister, sinon, par avance, la science n'a aucune raison d'ĂȘtre. En effet, les sciences depuis Descartes, nous font dĂ©couvrir la nature comme Ă©tant un vaste empire de la banalitĂ©, une grande machinerie. À l'origine de cette rĂ©flexion, il y a eu l'expĂ©rience des automates rendant compte de l'ingĂ©niositĂ© des humains pour produire des artifices combinaisons habiles de techniques. Par l'artifice technique, on peut produire des effets semblables Ă  la nature, il est alors probable que la nature dissimule son propre artifice, semblable Ă  celui des humains. Raisonnement justifiĂ© par le principe de causalitĂ©. Ainsi nous devons, pour l'apprĂ©hender, considĂ©rer que la nature imite la technique des humains, et pas l'inverse comme le dit Aristote. La nature, le modĂšle, doit donc ĂȘtre considĂ©rĂ© Ă  l'image de son image le corps est une machine, le cƓur une pompe, les muscles des ressorts, les veines une tuyauterie... À chaque fois, l'artifice reprĂ©sente le modĂšle pour dĂ©crire la nature. Évidemment, la complexitĂ© des crĂ©ations humaines est moindre que celles de la nature, il existe un Ă©cart infini entre l'humain et Dieu. C'est d'ailleurs cette complexitĂ© qui donne l'illusion d’avoir affaire Ă  autres chose que des machines naturelles. Mais selon Descartes, il existe une exception, celle de la conscience et de l'esprit, qui ne peut ĂȘtre expliquĂ©e comme un mĂ©canisme. Nous sommes des machines mais nous sommes essentiellement une conscience qui peut rĂ©flĂ©chir sur cette machinerie. Le grand mystĂšre est de savoir pourquoi et comment existe l'esprit, sa prĂ©sence mĂ©taphysique, dans un monde physique. La deuxiĂšme intuition, la science est une technologie du rĂ©el, est en corrĂ©lation avec la premiĂšre. Descartes est obsĂ©dĂ© par la vĂ©ritĂ©, car il a le soucis d’agir efficacement dans le monde; la science ne devrait ĂȘtre dĂ©veloppĂ©e que si elle a des applications pratiques; par consĂ©quent le fait que la science n'Ă©mette pas la vĂ©ritĂ©, mais des thĂ©ories de plus en plus vraisemblables importe peu, du moment qu'elle permet d'obtenir les effets dĂ©sirĂ©s. Quelle consĂ©quence de ces deux intuitions ? La possibilitĂ© "de se rendre maĂźtre et possesseur de la nature" non-seulement l'invention d'artifices mais aussi de repousser les limites de la mort et de toujours savoir comment agir Ă  chaque instant de nos vies. Les sciences, en rendant la technique efficace, arrachent l'humain Ă  la malĂ©diction Ă©voquĂ©e plus haut. En considĂ©rant les rĂ©alitĂ©s de la nature, et en particulier le corps humain, comme des mĂ©canismes, les progrĂšs vont nous permettre d’en disposer et de les utiliser comme s'il s'agissait de nos propres machines. RĂ©fĂ©rences[modifier modifier le wikicode] ↑ Hannah Arendt, Condition de l'homme moderne ↑ Jean Baudrillard, La SociĂ©tĂ© de consommation "L’apparent dĂ©doublement dans le temps de travail et temps de loisir [...] est un mythe" Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret PokĂ©mon Go Collection ... € Voir le deal Le Monde Antique Vie du Forum Philosophie et dĂ©bats +3AnudarSteufDeck7 participantsAuteurMessageDeckRambo des bacs Ă  sables... Nombre de messages 674Date d'inscription 13/02/2006Sujet La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Mar 3 Oct 2006 - 2220 Mes amis historiens, et par ailleurs philosophes, je vous soumet cette question que j'ai retrouvĂ©e dans un bouquin de philo...Qu'en pensez vous?Deck_________________Ceux qui oublient le passĂ© sont condamnĂ©s Ă  le revivre SteufHiĂ©rodoule de Mercure Nombre de messages 7779Age 32Localisation PrĂšs de Chaumont 52Date d'inscription 13/11/2004Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Mer 4 Oct 2006 - 1837 Tiens, coĂŻncidence, nous aussi en philo on commence l'annĂ©e avec le thĂšme Culture/Nature. J'aurais du mal Ă  te dire beaucoup de choses pour l'instant... Mais avant toute chose, Ă  mon avis il faut dĂ©jĂ  bien savoir ce qu'on entend par "humain". On ne peut pas se permettre de divaguer dans tous les coins de la pensĂ©e Ă  la fois, juste Ă  cause d'un terme dans la question mal prĂ©cisĂ©. VoilĂ  un mot qui a pas mal de sens. ConsidĂ©rons trois cas 1. "Humain" = "relatif Ă  l'espĂšce humaine, au genre humain" La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain, bah non, l'homme est dĂ©jĂ  humain par stricte dĂ©finition. Bon, on peut dĂ©jĂ  oublier le sens "Humain" = "bon, charitable, gĂ©nĂ©reux, indulgent" Ca peut tout Ă  fait se creuser on peut en effet se demander en quoi la culture rend l'homme bon, donc sociable. D'un autre cĂŽtĂ©, on sait trĂšs bien que la sociĂ©tĂ© n'enfante pas que des bons...3. "Humain" = "propre Ă  l'Homme" Ah, c'est sĂ»rement la piste la plus intĂ©ressante qu'est-ce qui est propre Ă  l'homme sous-entendu, par opposition aux autres formes de vie, sinon la vie en sociĂ©tĂ©s, les cultures propres Ă  chacune d'elles, la conscience de soi, de l'univers et de la mort, le langage articulĂ©, le dĂ©veloppement des arts, des sciences et de la pensĂ©e, entre autres facultĂ©s intellectuelles ?Tu me diras ce que tu en penses mais je crois pour ma part que c'est au troisiĂšme sens qu'on se seul truc qui m'embĂȘterait, ce serait de devoir se demander pourquoi la culture travaille Ă  rendre l'homme plus humain lĂ  oĂč par dĂ©finition il se dĂ©marque du reste du monde vivant par une culture, justement quand tout le reste ne vit que selon la nature.Petite parenthĂšse cela n'exclut pas que l'Homme peut aussi vivre selon la Nature, on est bien d'accord. La preuve, il est soumis Ă  la gravitĂ©, Ă  la fatigue, Ă  la faim, aux envies pressantes et Ă  l'inĂ©luctable venue de la mort comme tout le monde. De mĂȘme, dans les sociĂ©tĂ©s primitives et mĂȘme dans des sociĂ©tĂ©s moins primitives la loi du plus fort Ă©tait en l'hĂ©sitation entre mesure vie selon la Culture, les lois sociales, en conformitĂ© avec les rĂšgles que l'Homme s'est donnĂ© afin que thĂ©oriquement jamais le fort ne brutalise le faible et dĂ©mesure vie selon la Nature, les lois naturelles, les dispositions naturelles dont Nature nous a inĂ©galement douĂ©s a une portĂ©e politique et Ă©conomique problĂšme de la rĂ©partition des biens et des pouvoirs, par exemple dans le cas des sociĂ©tĂ©s tribales c'est vite rĂ©glĂ©.Et c'est lĂ  que se pose un paradoxe le dĂ©sir d'ĂȘtre le plus riche, le plus puissant, ne peut exister que dans le cadre d'une sociĂ©tĂ©, oĂč l'on peut se comparer Ă  d'autres. Ce dĂ©sir naturel a donc en rĂ©alitĂ© une origine ce n'est qu'une parenthĂšse, n'allons pas dire que j'ai dĂ©jĂ  osĂ© dĂ©vier le sujet. _________________Si vis copyrightem, para Ă©dition par le Sam 7 Oct 2006 - 1956, Ă©ditĂ© 1 fois AnudarPĂ©riĂšque de Messine Nombre de messages 45Age 42Localisation LyonDate d'inscription 01/08/2006Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Mer 4 Oct 2006 - 2012 IntĂ©ressant comme sujet .Comme Steuf le fait remarquer le noeud du problĂšme consiste implicitement Ă  dĂ©finir ce qui fait "l'humanitĂ©" de l'Homme avec un grand h puisque l'on parle ici du genre humain.Le "propre de l'Homme" n'est pas Ă  chercher dans le fait biologique, ou du moins, pas seulement. L'Homme n'est pas remarquable d'un point de vue biologique c'est un organisme animal des plus fragiles et ne prĂ©sentant d'adaptation Ă  aucun environnement ce qui lui permet, paradoxalement, de circuler partout sur Terre et de pouvoir s'installer partout ; il est aussi le seul Primate Ă  oser s'aventurer volontairement dans l'eau et Ă  nager.Il n'est pas Ă  chercher non plus dans le fait social. Les eusociĂ©tĂ©s d'Insectes prĂ©sentent une organisation bien plus aboutie que nos propres sociĂ©tĂ©s politiques songez que les eusociĂ©tĂ©s d'Insectes existent depuis 150 millions d'annĂ©es alors que les sociĂ©tĂ©s politiques d'ĂȘtres humains n'existent sans doute pas depuis plus de deux millions d'annĂ©es au plus. Il n'a pas non plus l'exclusivitĂ© de la culture on a mis en Ă©vidence des traits culturels chez certains Primates mais aussi, ce qui est plus Ă©tonnant, chez des Oiseaux. Quant Ă  la technologie, il ne s'agit somme toute que d'une façon de mieux survivre dans un environnement hostile, et Ă  ce titre, nombre d'animaux possĂšdent une technologie certes rudimentaire mais tout aussi efficace que la nĂŽtre des Primates savent rĂ©aliser des outils trĂšs simples, des Oiseaux savent choisir des cailloux sur lesquels lĂącher des coquillages pour les casser.Le "propre de l'Homme" serait en fait Ă  chercher dans sa capacitĂ© Ă  se concevoir lui-mĂȘme comme un ĂȘtre mythes grecs peuvent se lire ainsi comme les premiers balbutiements d'une pensĂ©e qui cherchait Ă  concevoir l'humain. Ulysse, au cours de l'OdyssĂ©e, rencontre des ĂȘtres qui ressemblent Ă  des Hommes mais qui n'en sont pas. En filigrane, apparaĂźt un trait fondamental est un ĂȘtre humain celui qui a conscience d'une proximitĂ© d'esprit avec d'autres ĂȘtres semblables Ă  lui. Le Cyclope est capable de manger des ĂȘtres qui lui ressemblent et qui parlent comme lui, il n'est donc pas humain ; CircĂ© change les compagnons d'Ulysse en pourceaux et leur supprime donc la parole et l'intellection, niant leur humanitĂ©, elle n'est donc pas test d'humanitĂ© du "gom jabbar" dans Dune est Ă  comprendre dans le mĂȘme sens. Pris dans un piĂšge, l'animal se ronge une patte pour Ă©chapper au prĂ©dateur alors que l'ĂȘtre humain attend l'arrivĂ©e de ce prĂ©dateur pour avoir l'opportunitĂ© de l'Ă©liminer et ainsi de supprimer une menace qui pĂšse sur toute l'espĂšce. L'ĂȘtre humain a donc la conscience qu'existent des ĂȘtres semblables Ă  "propre de l'Homme", ce serait donc ĂȘtre capable de se dĂ©finir comme partie intĂ©grante d'une communautĂ© plus vaste. La Fourmi, le Termite, bien que vivant au sein de sociĂ©tĂ©s bien plus anciennes et plus Ă©voluĂ©es que celles de l'Homme, n'en ont pas conscience ; la somme des actions individuelles des membres des communautĂ©s rĂ©alise l'action de la communautĂ©, par le jeu des essais et des erreurs liĂ©s aux instincts de chaque question qui est posĂ©e ici sous-entend que l'humanitĂ© de l'Homme puisse Ă©voluer vers un "mieux" humain. Comment ĂȘtre "mieux" humain que ce que l'on est ?Le code de Hammourabi dĂ©finissait trois variantes d'humanitĂ© l'esclave, le mesquin et l'homme vĂ©ritable, en une hiĂ©rarchie bien entendu croissante. Les mythes grecs proposent eux aussi, d'une façon implicite, des clĂ©s d'interprĂ©tation sont humains par opposition aux dieux les ĂȘtres qui consomment la chair, et non l'os de l'offrande sacrificielle le partage du boeuf par PromĂ©thĂ©e entre les dieux et les hommes ; sont humains ceux qui consomment un aliment prĂ©parĂ© le pain, par opposition au lotus des Lotophages, qui est mangĂ© aussitĂŽt que cueilli ; sont humains ceux qui parlent le grec les autres se situent en dehors de la koĂŻnĂȘ et sont donc considĂ©rĂ©s comme des barbares Ă  l'Ă©poque classique.De nos jours, les sociĂ©tĂ©s humaines considĂšrent comme humains les ĂȘtres nĂ©s de la reproduction d'un homme et d'une femme, ce qui permet ainsi d'Ă©tendre la dĂ©finition d'ĂȘtre humain Ă  tout individu anthropomorphe de cette planĂšte . Être "mieux" humain, ce serait donc Ă©tendre sa propre dĂ©finition de l'humain afin d'y englober toujours plus d'ĂȘtres Ă  sa ressemblance. C'est ainsi que des primatologues commencent Ă  proposer de modifier les noms d'espĂšces du ChimpanzĂ© et du Bonobo afin de les intĂ©grer au genre "Homo", et donc en faire des Hommes au sens biologique du dĂ©finir la culture ? On a vu que des sociĂ©tĂ©s animales rudimentaires possĂ©daient certains traits culturels, Ă  savoir des comportements qui sont transmis Ă  leur descendance, ce que l'on appelle des "mĂšmes" ils sont Ă  la pensĂ©e ce que les gĂšnes sont Ă  la cellule vivante. L'espĂšce humaine dispose d'une culture abondante du fait de son Ă©norme capacitĂ© d'apprentissage et repose donc sur un ensemble de mĂšmes trĂšs idĂ©es transmises de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration Ă©voluent de la mĂȘme façon que les gĂšnes et permettent ainsi une Ă©volution des comportements humains. En Ă©voluant, ces mĂšmes contribuent donc Ă  modifier la perception que l'Homme a de sa propre humanitĂ©. Le mĂšme dominant de la culture babylonienne en la matiĂšre voulait que le statut d'humain soit accordĂ© par une autoritĂ© plus haute ; chez les Grecs, une Ă©volution de ce mĂšme voulut que le statut d'humain puisse ĂȘtre acquis par la capacitĂ© Ă  communiquer et Ă  vivre selon certains faut bien comprendre cependant que les mĂšmes ont la vie dure. Bien que des gĂ©nocides aient eu lieu avant le XXĂšme siĂšcle, c'est depuis ce dernier que l'Homme ne peut plus se cacher Ă  lui-mĂȘme que, parfois, il peut ĂȘtre amenĂ© Ă  restreindre le statut d'ĂȘtre humain Ă  certains individus, en excluant ainsi d'autres dont les comportements sont considĂ©rĂ©s comme Ă©trangers voire menaçants. On sait ce que l'Homme a fait, tout au long de son Histoire, de ceux qui reprĂ©sentent une menace Ă  la stabilitĂ© de ses sociĂ©tĂ©s si fragiles . Or, ces restrictions ne sont pas faites par caprice elles le sont toujours au terme d'un processus de rĂ©flexion et de justification souvent trĂšs poussĂ© et d'une logique se voulant n'est donc pas la seule culture qui permet Ă  l'Homme de devenir "mieux" humain, mais plutĂŽt un rĂ©examen permanent des mĂšmes qui en constituent les fondations, Ă  la lumiĂšre Ă©ventuelle de donnĂ©es biologiques absentes du prĂ©cĂ©dent examen, et dans le but d'une extension du statut d'humanitĂ© mais jamais d'une restriction. A ce titre, il me semble trĂšs probable qu'Ă  terme certains Primates, que l'on considĂšre de nos jours comme des Animaux, seront inclus dans l'HumanitĂ©. Celle-ci ne sera dĂšs lors plus un groupe qui ne serait qu'un premier pas vers une nouvelle extension, dans l'hypothĂšse de la dĂ©couverte d'une forme d'intelligence radicalement diffĂ©rente, qu'elle soit artificielle ou bien extraterrestre. dagdaTanneur de Tyr Nombre de messages 104Age 32Localisation gaule, durocortorumDate d'inscription 07/07/2006Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Lun 9 Oct 2006 - 1447 putain j'ai un peu de mal Ă  suivre, mais bon, je m' selon toi Anudar, se qui rend l'homme "humain" serai le fait qu'il se considĂšre comme appartenir Ă  un groupe plus grand que les animaux ne se le considĂšre ? c'est pas trĂ©s français ma phrase mais tant pis j'ai pour ma part une idĂ©e approchant la tienne je pense que les hommes sont "humain" donc "propre Ă  l'homme" en effet non pas parce qu'ils ont fabriquĂ© nombres d'outils et notament d'armes pour survivre ou se dĂ©fendre __ car cela ne prouve que l'instint de survit propre Ă  toute les especes on a vu plusieurs espesces fabriquer des outils avec leur moyens __ mais parce que l'homme Ă  un instint d'entre-aide. L'homme dans les pires difficultĂ©s, va voir son prochain pour demander de l'aide. Donc en effet, plus l'homme considĂšre comme son prochain un grand nombre de personne, plus il est "humain". De plus, l'homme est plus "humain" aussi lorsqu'il aide son prochain, et notament tu parlait de Dune Citation dans Dune ... Pris dans un piĂšge, l'animal se ronge une patte pour Ă©chapper au prĂ©dateur alors que l'ĂȘtre humain attend l'arrivĂ©e de ce prĂ©dateur pour avoir l'opportunitĂ© de l'Ă©liminer et ainsi de supprimer une menace qui pĂšse sur toute l'espĂšce. l'homme Ă  la guerre se bat et continue Ă  se battre pour protĂ©ger ceux qui sont derriĂšre, les civils trops faibles pour ce dĂ©fendre. Ce n'est en aucun cas parce qu'ils Ă©coutent leurs supĂ©rieurs que les soldats seront plus humains les supĂ©rieurs peut-ĂȘtre, Ă  moins que se ne soit pour leur propre survit C'est pourquoi, d'aprĂ©s se raisonnement, je trouve les hommes moins "humains" quand ils vivent dans des villes d'anonymes, oĂč certaines personnes agĂ©s n'osent pas aller voir leurs voisins en cas de gros problemes GermanicusFidĂšle de Magna Mater Nombre de messages 204Age 34Localisation Dans un Castrum en GermanieDate d'inscription 15/06/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Jeu 17 Jan 2008 - 143 Je viens de trouver ce vieux sujet interessant et j'ai dĂ©cider de le faire revivre un peu tant le sujet me semble mon point de vue deux voies sont possible pour un homme cultivĂ© je ne prĂ©tend pas encore en etre un, mais j'espĂšre le devenir un jour, du moins aux yeux de ma familleSoit on voit la Culture comme la somme des connaissances humaines, des informations que l'on pioche par ci par lĂ , et dans ce cas, la culture c'est aussi connaitre les erreurs des ancetres. La culture est pour moi la somme de toute connaissance. Engrenger ses connaissances et augmenter sa culture, c'est necessairement apprendre des erreurs des ancetres et donc Ă©viter les atrocitĂ©s commises. La culture rend plus humain car elle enseigne, on apprend Ă  mieux vivre, on apprend Ă  comprendre. Le Racisme ou l'ethnocentrisme ne sont que les fruits d'une inculture grandissante. L'Homme cultivĂ© est curieux, et surtout envers la diffĂ©rence, sans jamais commetre l'erreur de la juger. Dans ce cas la culture rend meilleur et plus y a un autre cas, tout aussi valable Ă  mon avis. Si la Culture peut rendre plus humain, elle peut aussi rĂ©hausser l'Humain lui mĂȘme. L'Homme cultivĂ© est gĂ©nĂ©ralement vu comme le "savant", or de tout temps, celui qui sait a toujours Ă©tĂ© supĂ©rieur Ă  celui qui ne sait pas. La culture peut donc dĂ©velopper une sorte d'orgueil chez celui que la plus si la culture permet Ă  l'homme de connaitre les erreurs ancestrales, l'Homme peut soit en apprendre et tout faire pour changer l'HumanitĂ©, soit bien au contraire il est rĂ©aliste et se dĂ©courage d'amĂ©liorer cette humanitĂ© en laquelle il perd toute l'Homme cultivĂ© peut se dĂ©solidariser des humains, il peut s'auto exclure pour la simple et bonne raison qu'il en sait plus que les autres. Il en devient parfois austĂšre, froid, seulement animĂ© par sa soif de savoir, son envie d' que je viens d'Ă©crire est relativement applicable dans mon cas. Bien que je ne me vois pas encore comme un homme de culture, ces deux visions s'affrontent dans mon esprit. Je reste partagĂ© entre l'Humaniste qui veux Ă©clairer le monde, et le pragmatique froid Ă  la limite de l'Humain _________________" L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste "NapolĂ©on 1er nidorPirate de Cnide Nombre de messages 324Age 31Date d'inscription 24/02/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Jeu 17 Jan 2008 - 2047 TrĂ©s bonne idĂ©e. Joli texte aussi Pour moi c'est clair que ce qui diffĂ©rencie l'humain de l'animal, mis Ă  part ses contacts sociaux trĂšs developpĂ©s, c'est l'art et la un athĂ© est un humain, mais on se comprend. Donc, histoire de pas dire "d'accord avec toi, je pense pareil", autant que l'on parte un peu sur le trip "les gens qui n'ont pas d'identitĂ© culturelle sont t'ils encore vraiments humains ? GermanicusFidĂšle de Magna Mater Nombre de messages 204Age 34Localisation Dans un Castrum en GermanieDate d'inscription 15/06/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Jeu 17 Jan 2008 - 2358 Sujet interessant en suis trĂšs Ă  cheval sur l'identitĂ© culturelle. Pour moi, renier son identitĂ© c'est se renier tout court. Certains voient dans l'identitĂ© culturelle comme un carcan qui nous bride. C'est faux selon moi. Je suis trĂšs fier de mes origines Franques et j'assume Ă  fond ma culture Française, cela ne m'empeche pas d'Ă©prouver une profonde curiositĂ© pour les autres qu'un homme sans culture ? Un homme qui rejette son propre hĂ©ritage n'est pas un homme. Il peut croire qu'il se libĂšre, mais je pense au contraire qu'il se renferme dans son propre refus. Il se nie lui mĂȘme, ce qui ne sera jamais un bon dĂ©part. _________________" L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste "NapolĂ©on 1er nidorPirate de Cnide Nombre de messages 324Age 31Date d'inscription 24/02/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Ven 18 Jan 2008 - 2147 Rhùùa ce que j'envie votre beau parlĂ© Oui, d'ailleurs, quand on voit ces "gens sĂ©rieux" qui vont au boulot Ă  Paris tout les jours en prenant le mĂ©tro comme des pingouins en ces boulots Ă  la con nous dĂ©shumanisent je trouve, pas vous ? GermanicusFidĂšle de Magna Mater Nombre de messages 204Age 34Localisation Dans un Castrum en GermanieDate d'inscription 15/06/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Sam 19 Jan 2008 - 1545 Alors lĂ  je t'arrete tout de suite mon ami Tu peux me tutoyer ! Je vouvoie uniquement quand je ne connais pas la personne et si elle est beaucoup plus agĂ©e que moi. Dans le cas prĂ©sent, on se connait un peu, et puis on est les deux seuls survivants de ce forum, alors je pense qu'on peut arreter les formules d'usages En ce qui concerne le travail, je ne sais pas trop..... Tout dĂ©pend du travail en question en fait. Si on est un simple maillon de la chaine ou si on fait partie des instances simple maillon de la chaine n'a pas toujours une vraie personnalitĂ© ou plutot une vraie identitĂ©. Il se contente dans la plupart des cas, pas tous d'etre monsieur je suis bien plus ambitieux, et je ne conçois pas ma vie sans un travail fondamentalement utile. Je ne sais pas encore exactement ou je vais me diriger, mais que se soit dans la culture ou j'aurais Ă  coeur de cultiver et de passionner les gens la culture est un fondamentale pour moi, ne pas vouloir connaitre, ne pas avoir de curiositĂ© culturelle, c'est ne pas etre grand chose selon moi. Et si c'est dans l'autre domaine que j'affectionne, La politique, j'aurais Ă  coeur de devenir quelqu'un d'influent, de respectĂ©, mais aussi quelqu'un d' tu te donnes un vrai objectif pour ta vie future, alors ton travail prendra un tout autre sens. L'important est de ne pas se fondre dans la masse et de te dĂ©marquer le plus possible tout en restant toi je suis d'humeur philosophique cet apres midi. J'aime parler de tout cas, j'espĂšre que nous allons redynamiser le forum Ă  nous deux, je vais essayer de crĂ©er des sujets et faire de la pub, essaye d'en faire de ne sommes plus que trois Ă  venir, si ça continue, je demande Ă  etre nommĂ© admin _________________" L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste "NapolĂ©on 1er nidorPirate de Cnide Nombre de messages 324Age 31Date d'inscription 24/02/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Sam 19 Jan 2008 - 2247 Je n'ai pas grand chose Ă  rajouter Ă  tes propos, ils reflĂštent bien ma pensĂ©e. Je dois avouer que je mĂ©prise un peu ces maillons des entreprises, tous habillĂ©s de la mĂȘme façon, sans avoir d'uatre but dans la vie que d'obtenir une augmentation Point de vue clturel, on peut parler de culture occidentale, mais j'ose espĂšrer que non, aprĂ©s ce que les peuples antiques nous ont culture perse et grecque a, Ă  mon avis, fortement contribuĂ© Ă  civiliser les humains et Ă  les rendres moins on commence Ă  oublier ces acquis. depuis le Moyen-Âge, la culture passe de plus en plus au second plan, et du coup, j'ai l'impresion que notre degrĂ© de civilisation regrĂšsse. Enfin, ce n'est sans doute qu'une on va le relancer le forum, mais, mĂȘme si on n'y parvient pas, il constitue dĂ©jĂ  une mine d'infos impressionante. GermanicusFidĂšle de Magna Mater Nombre de messages 204Age 34Localisation Dans un Castrum en GermanieDate d'inscription 15/06/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Dim 20 Jan 2008 - 111 Je ne pense pas qu'on doivent parler de regression civilisationnelle. Je suis du genre pragmatique, voire fataliste. C'est pourquoi je pense que c'est ainsi que va notre civilisation, et nous n'y changerons rien. Cela fait partie de ce que j'aime appeller le Destin Ce n'est pas une regression, c'est plus un chemin parmis tant d'autres. Et puis, rien n'a vraiment changĂ©. Le pays reste dirigĂ© par une minoritĂ© cultivĂ© et gĂ©nĂ©ralement fermĂ©, alors que le peuple, inculte et influençable Ă  souhait, ne demande qu'Ă  continuer sa petite vie tranquille, sans augmentation d'impots, et sans Maxime "Panem et Circanses" n'a jamais Ă©tĂ© autant d' dirigeante connait plutot bien nos origines, et c'est d'ailleurs le premier pas vers une distinction de la masse. Avoir une bonne culture antique arrache souvent aux amis, des "t'en connais des choses toi !".Je terminerai par cette citation de Churchill que j'aime beaucoupPlus vous saurez regarder loin dans le passĂ©, mieux vous verrez dans le futur_________________" L'Histoire est un mensonge que personne ne conteste "NapolĂ©on 1er nidorPirate de Cnide Nombre de messages 324Age 31Date d'inscription 24/02/2007Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Dim 20 Jan 2008 - 1614 Belle citation Pas grand chose Ă  rajouter. odjobNomade de la steppeNombre de messages 1Date d'inscription 18/11/2009Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Mer 18 Nov 2009 - 032 Bonsoirs j'ai eu cette questions comme sujet de dissertation, voila le travail que j'ai fait en 1H sous la pression du temps La culture travaille-t-elle Ă  nous rendre plus humains ? »La culture est un terme trĂšs vaste qui englobe les arts, les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l’ĂȘtre humain, les systĂšme de valeurs, les traditions et les croyances. la culture c’est ce qui demeure dans l’homme lorsqu’il a tout oublier » d’un proverbe culture d’un groupe d’individu est une culture collective qui comprend toute les valeurs de ce groupe, mais il y a aussi une culture individuelle comprise comme connaissance de la culture collective dont on la culture peut ĂȘtre un frein celon l’usage qu’il en ai fait a l’épanouissement de l’ĂȘtre humain, elle peut aussi y participer et le bonifiĂ©. En effet, l’homme contrairement aux autres espĂšces ne se contentent pas de suivre sa nature, il l’inventent et la transmet ensuite de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. C’est sa la culture mais est ce vraiment bĂ©nĂ©fique a l’homme ?Jean jacque rousseau dis l’homme est bon naturellement c’est la sociĂ©tĂ© qui le rend mauvais » Ce qui veux dire que si l’homme transmet ces connaissances et ce qu’il pense juste, il transmet aussi ses dĂ©faults, ces mauvaises habitudes. Comme par exemple au Mali, en afrique ou 80% de la population pratique l’excision et trouvent cela important, et bĂ©nĂ©fiquent pour leurs filles. Alors que dans d’autres pays ceci est considĂ©rĂ© comme une mutilation transmet Un homme seul, n’ayant jamais conu d’autre homme et ayant toujours vĂ©cu seul est il moins un homme que un autre individu qui lui dispose d’un patrimoine, d’une culture familiale, d’une Ă©ducation ?Un homme sans culture est il toujours un homme ? un proverbe africain dis "Un homme sans culture ressemble Ă  un zĂšbre sans rayures". Mais la culture permet aussi a l’homme de s’épanouir de se effet comme le dis le proverbe africain plus haut un homme sans culture n’existe pas, car c’est un besoin vitale » pour l’homme, au second lui permet d’avoir une santĂ© mentale saine, de communiquer, de partager, de construire, tout ce qui est propre a la race humaine et qui permet la pĂ©rĂ©nitĂ© de l’espece. Comme par exemple Claude LĂ©vi-Strauss qui dis la prohibition de l’inceste marque le passage de la nature Ă  la culture »La prohiition de l’inceste est une rĂšgle universelle qui c’est transmise depuis qu’elle est apparue de gĂ©nĂ©ration en gĂ©nĂ©ration. C’est la naissance de la FreĂŒd aimer son prochain » n’est pas naturel mais culturel ce qui la aussi a permis a l’homme de faire un pas en avant en faisant reculant le singe qui est en nous puisque, aimer son prochain , se forcer a ĂȘtre aimable, serviable, constitue l’éducation et permettent a notre sociĂ©tĂ© de se solidariser, d’ĂȘtre de nombreuse associations d’aide a travers le monde qui existent actuellement tel que EMMAUS, La croix rouge et d’ la culture c’est avant tout choisir, c’est donne le loisir a l’Homme de dĂ©cider de son chemin. Ainsi l'Homme cultivĂ© peut se dĂ©solidariser des humains, il peut s'auto exclure pour la simple et bonne raison qu'il en sait plus que les autres. Il en devient parfois austĂšre, froid, seulement animĂ© par sa soif de savoir, son envie d' il peux au contraire se sentir plus proche de ces semblables grĂące Ă  la culture, l’éducation qu’ils lui aura Ă©tĂ© transmise. Contenu sponsorisĂ©Sujet Re La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? La culture travaille-t-elle Ă  rendre l'homme plus humain? Page 1 sur 1 Sujets similaires» en quoi la culture modifie t-elle les perceptions?» L'histoire est-elle une science?» Un nouvel humain?Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumLe Monde Antique Vie du Forum Philosophie et dĂ©batsSauter vers Le travail rend-il plus humain ? Introduction et identification du problĂšme sous-jacent. I. Le travail constitue pour l’homme le moyen de dĂ©velopper ses potentialitĂ©s. 1. L’homme, par et dans le travail, dĂ©passe la nature et se produit lui-mĂȘme. - Marx. Le Capital. Livre I. - Feuerbach. L’Essence du christianisme. - Marx. Manuscrits de 1844. 2. Le travail permet de prendre conscience de soi-mĂȘme. - Hannah Arendt. Condition de l’homme moderne. Le travail ». - Aristote. Politiques. Livre I. - Hegel. PhĂ©nomĂ©nologie de l’esprit. Dialectique du maĂźtre et de l’esclave. Transition II. Le travail salariĂ©, source d’aliĂ©nation de l’homme. 1. DĂ©possĂ©dĂ© des moyens de production, l’homme devient une marchandise. - Marx. Manuscrits de 1844. - Michel Henry. Philosophie de l’économie. 2. Ce qui entraĂźne la perte de toute finalitĂ© dans le travail. - Marx. Manuscrits de 1844. - Althusser. IdĂ©ologie et appareils idĂ©ologiques d’État ». Transition III. Retrouver le sens originel du travail un dialogue entre Marx et Gilbert Simondon. 1. Le travail pour ĂȘtre humain doit ĂȘtre activitĂ©. - Gilbert Simondon. Du mode d’existence des objets techniques. 2. La nĂ©cessitĂ© d’une culture technique. - Gilbert Simondon. Du mode d’existence des objets techniques. Conclusion

le travail nous rend il plus humain